Une approche simple
Logique : A=B, B=C, donc A=C
Demandez au chrétien : « Pourrais-tu devenir un jour dieu ? » Il devrait répondre : « Non, parce que je suis un être humain. » Demandez au chrétien : « Jésus était-il un être humain ? »
Il devrait répondre : « Oui. »
Informez le chrétien : « Par conséquent, il ne pourrait jamais être Dieu. »
Le bébé Dieu
Le chrétien insiste sur le fait que Jésus était le fils d’Allah, mais que lui et Allah sont une seule et même personne. Informez le chrétien : « Les vaches ont des veaux ; des petites vaches. Les chats ont des chatons ; des petits chats.
Les humains ont des enfants ; des petits humains. Quand Allah a un fils, qu’est-ce qu’il est ? Un petit Allah ? Si c’est le cas, vous avez deux Allah. »
Pour les catholiques (la plupart des Philippins) qui disent : « Jésus était le fils de Dieu et non Dieu. »
Demandez au catholique : « Ne dites-vous pas : Sainte Marie Mère de Dieu dans votre neuvaine ? » Il devrait répondre : « Oui. »
Demandez au catholique : « Si Marie était la Mère de Dieu, qu’était son fils sinon un Dieu ? »
Demandez au catholique : « Où Marie est-elle mentionnée comme Mère de Dieu dans le Nouveau Testament ? »
Demandez au catholique : « Dieu peut-il avoir une mère ? »
Chapitre suivant montrant les parties de la Bible qui invitent à adorer Dieu seul
Comment les chrétiens se sont égarés : Le Messager d’Allah ﷺ a dit :
عَن عُمَرَ بنِ الخَطَّابِ رَضِيَ اللَّهُ عَنْهُ قال: سَمِعْتُ النَّبِيَّ صَلَّى اللَّهُ عَلَيْهِ وَسَلَّمَ يَقُولُ:
«لَا تُطْرُونِي كَمَا أَطْرَتِ النَّصَارَى ابْنَ مَرْيَمَ؛ فَإِنَّمَا أَنَا عَبْدُهُ، فَقُولُوا: عَبْدُ اللهِ وَرَسُولُهُ».
[صحيح] - [رواه البخاري] - [صحيح البخاري: 3445]
« Oumar ibn Al-Khaṭṭâb (qu'Allah l'agrée) relate : "J'ai entendu le Messager d'Allah (ﷺ) dire :
Ne m’encensez pas comme les chrétiens ont encensé le fils de Marie ! Je ne suis rien d'autre que Son serviteur ! Dites : Le serviteur d'Allah et Son Messager !"
(Al-Bukhārī, n° 3445)
La Bible énonce le premier commandement ainsi : « Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, du pays de servitude. Tu n’auras pas d’autres dieux que moi. » (Exode 20:2-3) C’est le Dieu de Moïse (sur lui la paix). C’est Lui qui a envoyé Jésus comme Son serviteur et Son messager, et non comme un dieu à adorer.
Dans le Nouveau Testament, le premier commandement est réitéré : « Jésus a dit : ‘Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée.’ C’est le premier et le plus grand commandement. » (Matthieu 22:37-38) Ainsi, Jésus (que la paix soit sur lui) confirme le Seigneur de Moïse, qui est le vrai Dieu digne d’adoration et d’amour.
De nombreux théologiens et érudits chrétiens reconnaissent qu’un seul Dieu, le Seigneur et le Créateur de toute existence, doit être adoré. Le théologien allemand Martin Luther, une figure marquante de la Réforme protestante (mort en 1546), a déclaré : « [L’idolâtrie] ne consiste pas simplement à ériger une image et à l’adorer, mais plutôt dans le cœur, qui reste bouche bée devant autre chose, et cherche aide et consolation auprès des créatures, des saints ou des démons, et ne se soucie pas de Dieu, ni ne cherche en Lui tant de bien que de croire qu’Il est prêt à aider, ni ne croit que tout bien qu’il éprouve vient de Dieu. » [1]
Jean Calvin, théologien français, pasteur et réformateur protestant (mort en 1564) : « Nous savons que lorsque les Israélites adoraient leurs Baalim (nombreuses divinités locales), ils ne les substituaient pas à la place de Dieu pour Le mettre complètement de côté et leur attribuer le pouvoir suprême ; néanmoins, c’était une profanation intolérable du culte de Dieu. » [2] Calvin dans ses écrits rappelle aux chrétiens l’avertissement de Moïse aux Israélites contre l’adoration de tout autre dieu en dehors du Seigneur de toute existence : « Vous n’allez pas après d’autres dieux, aucun des dieux des peuples qui vous entourent, car l’Éternel, votre Dieu, est au milieu de vous un Dieu qui exige fidélité et adoration exclusive, autrement la colère de l’Éternel, votre Dieu, s’enflammerait contre vous, et il vous exterminerait de la surface de la terre. » (Deutéronome 6:14) Malgré cela, les chrétiens insistent sur l’adoration de Jésus, fils de Marie (que la paix soit sur lui). En cela, ils contredisent l’Écriture, ils contredisent leur prétention au monothéisme et ils s’opposent aux enseignements de Moïse, de Jésus et de Mohammed (que la paix soit sur eux tous).
De plus, la Bible déclare :« Tu ne te feras pas d’image taillée, ni aucune représentation de ce qui est là-haut dans les cieux, ici-bas sur la terre, et dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne les adoreras pas et tu ne les serviras pas, car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux. » (Exode 20:4) Et cela constitue la base du deuxième commandement. Les chrétiens font des images du Christ, l’appellent « Dieu » et l’adorent, tout en prétendant être des adorateurs du seul Seigneur de la création. Selon la Bible, Dieu dit à Moïse (que la paix soit sur lui) : « Tu n’as vu aucune ressemblance le jour où l’Eternel t’a parlé du milieu du feu. » (Deutéronome 4:15) Le célèbre puritain et théologien anglais Thomas Watson (1686 CE) a commenté : « Comment quelqu’un peut-il peindre la Déité ? Peuvent-ils faire une image de ce qu’ils n’ont jamais vu ? Il est impossible de faire une image de l’âme, ou de peindre les anges parce qu’ils sont de nature spirituelle ; encore moins pouvons-nous peindre Dieu par une image, qui est un infini. Adorer Dieu par une image est à la fois absurde et illicite. » (Les Dix Commandements, 1692 CE)
En tant que musulmans, nous croyons que les anges sont en fait une création physique, mais néanmoins, l’Islam interdit de faire des images et des statues de prophètes, d’anges ou de toute créature de Dieu qui a une âme, qu’elle soit humaine ou animale. Les chrétiens ne semblent pas avoir de tels scrupules. Ils font des images de prophètes, d’anges et de Dieu, mais ils ne les ont jamais vus. De plus, il leur est interdit de faire de telles représentations dans les Écritures. Ce qui est déconcertant, c'est qu'ils fabriquent des statues et des images sur la base de pures suppositions et conjectures, car ils ne savent pas à quoi ressemblait Marie (que Dieu soit satisfait d'elle), ni Jésus-Christ ou les disciples (sans parler de Dieu), et pourtant ils fabriquent image après image et statue après statue selon leurs caprices. Chaque pays, chaque commune même, a ses propres représentations. Dans certains pays, Jésus est représenté et dessiné comme un Européen blanc aux cheveux blonds, tandis que dans d'autres, il est représenté comme un Africain noir aux cheveux bouclés et serrés. Si ce n'est pas de l'idolâtrie, alors qu'est-ce que l'idolâtrie ?!
De nombreux érudits chrétiens ont affirmé que le vrai Dieu à adorer est le Dieu de tous les prophètes, le seul Seigneur de la création. Pourtant, Satan a trompé les chrétiens et ils sont tombés dans le polythéisme en adorant Jésus et sa mère sous la forme de statues, de portraits et de la croix ou en les déifiant simplement dans leur cœur et leur esprit. La Bible déclare : « Tu ne te feras pas d’idoles, tu ne te dresseras ni image taillée ni statue sacrée, et tu ne placeras pas dans ton pays de pierre ornée de figures pour te prosterner devant elle, car je suis l’Éternel, ton Dieu. » (Lévitique 26:1) Dans combien d’endroits à travers le monde voyons-nous des images en pierre de Marie avec l’enfant Jésus dans ses bras, ou des statues du Christ lui-même dans les églises et ailleurs – certaines s’étirant sur plusieurs mètres de haut et d’autres de petites figurines. On voit des milliers de chrétiens se rassembler et se prosterner devant ces images et statues de pierre. C’est l’idolâtrie interdite par les Écritures et l’intellect sain, qui annule leur prétention au monothéisme. —-
[1] Le Grand Catéchisme III, Première partie : Le Premier Commandement, traduit par F. Bente et W.H.T. Dau Publié dans Triglot Concordia : Les livres symboliques de l’Église luthérienne évangélique, Saint-Louis : Concordia Publishing House, 1921, pp. 565-773. (ref : wp)
[2] Jean Calvin, Harmonie de la Loi : Partie 1, La Loi : Le Premier Commandement.