Le rôle de l'étudiant en science Islamiques.


De nombreux jeunes frères des pays occidentaux et des groupes minoritaires musulmans ont quitté leur pays d'origine et leurs familles au cours des 30 dernières années à la recherche d'une bonne connaissance Islamique et se sont inscrits dans des universités Islamiques loin de leurs familles. En général, ils acquièrent une grande quantité de connaissances grâce aux nombreux et excellents livres écrits par les savants des Salafs.

En vérité, c'est extrêmement important, mais cette connaissance reste un sujet de discussion entre les personnes qui ont été exposées à cette souche de connaissances et ces longues années passées à la recherche d'une meilleure compréhension de l'Islam ne donnent pas les fruits attendus par les chercheurs.
À maintes reprises, lorsque nos jeunes frères reviennent de leur quête vers leurs foyers, ils sont dans plus de 90 % du temps mal préparés et incapables de bénéficier aux communautés qui ont placé des espoirs légitimes en eux pour aider à améliorer le statut et le statut social de la communauté. Nous avons observé à plusieurs reprises la déconnexion totale des étudiants pour comprendre comment servir leur communauté une fois de retour chez eux.
Voici quelques indices importants pour changer ce fait très triste.

Contrairement à l’avertissement souvent mal compris de ne pas se mélanger avec la masse générale des musulmans, jeunes et vieux, il est impératif que les étudiants en sciences rencontrent et connaissent réellement leurs jeunes frères et aînés dans leur vie quotidienne. Mais cela doit se faire avec un esprit d’attention et d’amour et une préparation adéquate doit être effectuée à cet effet.

Préparation à la réinsertion dans la communauté d’origine. Rejoindre les jeunes dans leurs lieux de réunion est important pour gagner en proximité et en confiance et le frère qui y va doit établir une solide routine de Duas (invocations) et de Dhikr (souvenirs) et réaffirmer aussi souvent que possible son intention. S’asseoir dans un coin de la mosquée en attendant ceux qui veulent apprendre n’est pas la façon dont la masse de la nation musulmane (Oumma) va changer. Une partie de l’éducation se fera dans la mosquée et une autre sur le terrain.

Une partie extrêmement importante du renforcement de la foi de la communauté passe par les différents programmes sociaux que nous avons expliqués plus tôt.

Jusqu’à présent, nous avons abordé la Da’wah silencieuse (invitation à Allah), la Da’wah éducative (invitation à Allah) pour les membres de la communauté, la connexion et le soutien de tous les membres de la communauté.

Vient maintenant le travail qui doit être fait dans le domaine de l’information des non-musulmans sur le prophète Mohammed (q) et les croyances et pratiques correctes de l’Islam.

 

Informer les non-musulmans.

 

Plusieurs initiatives ont déjà été mises en œuvre avec succès dans différents endroits.

Tout d’abord, il est important que les responsables aient connaissance des lois en vigueur dans leurs lieux respectifs concernant la communication publique.

Lorsque cela est nécessaire et approprié : organisation de conférences et de débats publics, de préférence soutenus par de petites tables de Da’wah (invitation à Allah) avec distribution gratuite de matériel pédagogique.

Journée portes ouvertes dans les mosquées.

Da’wah de rue.

Da’wah électronique.